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La prévoyance – qui couvre l’incapacité, l’invalidité et le décès – constitue la base de tout système de protection sociale. Contrairement à la complémentaire santé et la retraite, elle ne permet ni arbitrage (s’assurer ou être son propre assureur), ni différé (j’ai le temps d’y réfléchir …). Si vous n’êtes pas assez riche pour devenir rentier, vous devez couvrir le risque d’une invalidité qui vous empêcherait définitivement de travailler. Et si des personnes dépendent économiquement de vous, elles doivent être protégées financièrement des conséquences de votre décès. Si vous ne l’avez pas encore fait, vous figurez dans cette catégorie encore trop répandue des « kamikazes ayant été chanceux jusqu’à ce jour »
- Mais une nécessité trop souvent négligée, victime de l’opposition fréquence/risque
Nous sommes toujours surpris de rencontrer tant de professionnels qui renversent l’ordre logique de souscription de leurs couvertures sociales. Ils commencent par la complémentaire santé – souvent appelée un peu à tort « Mutuelle » – complètent éventuellement avec de la retraite par capitalisation, puis négligent la prévoyance, en la limitant à un niveau très inférieur à celui que leur situation personnelle et familiale dicte, voire l’oublient totalement. Selon nous, cette inversion s’explique par le couple fréquence/risque.
La prévoyance présente une très faible fréquence de survenance : le jeu des probabilités indique que nous devrions atteindre l’âge de la retraite sans être invalide. Nous aurons cotisé pendant des décennies pour rien. Et comme il faudrait devenir invalide ou mourir pour obtenir un retour sur cotisations, tant mieux. La « Mutuelle », au contraire, et dans tous les cas, sera sollicitée.
Mais la prévoyance se caractérise aussi par le pic d’intensité du risque, s’il se réalise. L’invalidité et le décès sont des tragédies personnelles et familiales. Rien à voir avec une « Mutuelle » qui aurait mal remboursé la dernière paire de lunettes.
- Une nécessité universelle, avec un risque spécifique pour le non salarié
Donc, si vous n’êtes pas (encore) assez riche pour être votre propre assureur, vous devez assurer votre invalidité et votre décès, en sachant que ces circonstances n’adviendront probablement pas pendant votre période d’activité. Mais vous devez quand même le faire, parce que vous ne pouvez pas courir le risque des conséquences de ces événements improbables. La perspective n’est pas enthousiasmante, c’est vrai, mais nous n’avons pas le choix, ni pour nous ni pour les nôtres. Et quand vous êtes chef d’entreprise non salarié, vous êtes en outre un cas à part. Ce qui est mis en place pour vos salariés ne vous concerne pas. Cette liberté peut être un atout. Mais elle prive de toute couverture automatique. Ce que vous ne faites pas pour vous, personne ne le fera à votre place…
Alors, déjà équipé d’un contrat de Prévoyance ou non, contactez le cabinet SERENITE.
Nous pourrons vous proposer la solution la mieux adaptée à votre situation, en réalisant ensuite son suivi.